jeux pervers dans le train (2)

Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 01:58

jeux pervers dans le train (2)

de paul pour caroline, et vous...

bientôt, devant la feinte indifférence du monsieur, j'ose passer un doigt entre l'élastique de ta culotte et ta peau, sur le côté, non loin de tes lèvres.
mon doigt monte et descend le long du haut de ta cuisse, et j'entends bientôt notre homme sérieux toussoter.
je lève les yeux : au-dessus de son journal, qui ne lui apprend plus rien, désormais, il darde un oeil intéressé sur notre manège. et ses sourcils froncés et ses lunettes cerclées de noir ne me trompent pas : ce que nous faisons l'intéresse!
tu fermes toujours les yeux, ma caroline, et tu as rejeté la tête en arrière, dans l'attente d'autres caresses...
j'écarte donc ta culotte et découvre ta petite chatte épilée aux regards de notre homme au journal.
elle est déjà mouillée, et je n'ai aucun mal à aller et venir entre ton clitoris et ta petite rose d'amour que sa rosée invite à venir explorer.
j'y glisse le bout de mon doigt, puis le remonte lentement, enrichi de ta cyprine, pour faire le tour de ton clitoris et le libérer de la légère enclave de chair qui le protège.
tu commences à gémir doucement et je jette un oeil en direction de monsieur journal.
nos regards se croisent et, au mien, il a compris qu'il était invité à notre jeu.
alors, en restant bien à l'abri de son journal, il entreprend, je le devine bien, de descendre sa braguette, un zip silencieux, et d'extirper son sexe que j'imagine, sinon dur, du moins déjà dressé.
je l'encourage en extirpant un sein de ton soutien gorge décidément très petit.
ses yeux sont rivés sur ton sein, à présent, et le journal bouge un peu, au niveau de son pantalon, tandis que ses yeux lancent des lueurs éloquentes.
c'est le moment que je choisis pour t'obliger à redresser ta tête et à ouvrir tes yeux.
ce faisant, tu comprends tout de suite la situation.
mais tu ne sais pas encore ce que je vais te demander, caroline...

la suite très bientôt, de la main de caroline ou de la mienne - ou de la vôtre, pourquoi pas?