Jeudi 13 août 4 13 /08 /Août 03:43
sous le regard de plus en plus intéressé de l'homme au journal, je te retire lentement ta culotte, tout en ne le quittant pas des yeux.
tu t'es couchée le plus que tu pouvais, le dos à la banquette, pour me laisser faire.
bientôt, ta culotte passe la frontière de tes talons hauts et, après l'avoir un peu froissée dans ma main, par pur plaisir, je la dépose doucement sur la cuisse de l'homme, le plus près possible du journal.
comment va-t-il réagir?
je le sais déjà : sa main s'empare de la petite culotte lestement.
à l'abri de son journal, il la porte d'abord à son visage, pour en tirer les effluves. toi et moi, caroline, nous le regardons faire, ou, plutôt, nous le devinons. je sens, à caresser ton sexe, que ça t'excite beaucoup, mais je sais aussi que tu n'as encore rien vu.
l'homme porte la culotte à son sexe, et il nous semble évident qu'il se caresse avec le tissu doux et léger. il lui échappe bientôt un râle qui nous prouve, si besoin était, qu'il est prêt. prêt pour le sexe, prêt à te baiser, à te prendre là, tout de suite, dans ce train.
je me lève et, même si, à cette heure tardive, personne ne passe dans le couloir, je ferme les rideaux et me tiens dos à la porte, les mains sur la poignée, pour empêcher quiconque d'entrer. à l'homme qui me regarde sans cesser de se caresser, je fais un signe éloquent en tournant la tête dans ta direction : tu es à lui, il peut te prendre.
alors, pour la première fois, l'homme abandonne le rempart de son journal et nous dévoile son sexe, fier, dressé.
l'homme ne paraît pas son âge, du moins celui que nous lui supposons.
si son visage est sévère, ses traits austères, son front dégarni, ses mains aux attaches fines sont longues et sensuelles, son sexe sans âge.
il me regarde encore une fois, comme à la sauvette, puis, devant mon air encourageant, court s'agenouiller entre tes jambes.
toi, caroline, sachant que tu vas devoir te donner, que tu vas recevoir du sexe, tu as fermé les yeux à nouveau. tes fesses sont avancées le plus possible au bord de la banquette, ton sexe accessible.
l'homme n'attend pas davantage. je l'aurais cru fébrile, mais c'est avec calme, tranquillement, qu'il introduit son sexe dans ta chatte.
toujours le dos à la porte, je vous regarde. l'homme va et vient en toi, et je te vois te tordre de plaisir, tandis qu'il s'enfonce au plus profond de toi.
le rythme s'accélère. tu places tes mains autour de sa nuque, pour lui signifier ton consentement...
je vois le sexe de l'homme entrer et sortir. il le sort presque entièrement, le laisse parfois sortir sans le vouloir -et tu l'aides alors à l'introduire de nouveau- et l'introduit le plus loin possible, jusqu'à la garde, jusqu'aux couilles que tu dois sentir battre contre tes fesses.
j'écoute vos gémissements avec plaisir, ceux de l'homme, qui ne s'attendait certes pas à une telle aventure, et les tiens, ma caroline, que je connais si bien, mais que j'aime entendre sous les coups de queue d'un autre.
soudain, le corps entier de l'homme se raidit. il pousse un long râle, et je sais qu'il jouit en toi, intensément, profondément.
et je sais que toi aussi, tu jouis.
vous restez figés, tels deux statues, pendant quelques instants qui vous paraissent sûrement interminables, immortels. puis, l'homme se retire et retourne s'écraser à sa place, fatigué, heureux.
toi, caroline, tu ne bouges pas, et ton sexe béant, parmi tes cuisses écartées, est d'une indécence que nous aimons, toi et moi, et tu le sais.
je quitte alors la porte, que personne n'essaiera d'ouvrir, et m'approche de toi. l'homme, encore haletant, nous regarde, nous observe.
de ton sexe coule déjà un mince filet laiteux, qui s'apprête à courir jusqu'entre tes fesses. le sperme de l'homme. je ne lui en laisserai pas le temps.
je m'agenouille à mon tour entre tes jambes. l'homme se déplace pour mieux nous voir.
et lentement, avec délices, ma langue lèche le sperme de l'homme au journal, aux lunettes sévères, en remontant de ton anus à ton joli trou tout humide de vos liquides mélangés.
j'essaie de discerner les goûts, celui de ta cyprine de celui de son sperme. toi, tu es parfumée, un peu acide ; lui plus épais et salé. tu gardes les yeux fermés, tu me laisses déguster en connaisseur...
l'homme semble passionné par notre jeu.
ça tombe bien, je ne compte pas le laisser se morfondre seul plus longtemps...
je sors ma queue, déjà tendue, de son jean's, et la fais glisser le long de ton sexe trempé de sperme. je l'introduis un peu dans ce trou inondé, et mon sexe goûte la douceur du foutre qui m'a précédé.
quand je sens enfin que je vais jouir, je décide de me retirer et de gicler sur ton sexe et tes cuisses.
je lance de longs traits blancs sur ta chatte grande ouverte et tes cuisses frissonnantes. te voilà vraiment trempée, à présent, non?
du regard, j'invite l'homme, qui m'a tout de suite compris.
à son tour, il vient entre tes jambes lécher nos spermes mêlés à ton abondante rosée. l'expérience est nouvelle pour lui, je le vois bien, à son sexe qui se durct à nouveau...

soudain, l'affreuse voix nasillarde du chef de train interrompt nos jeux : nous arrivons en gare!
dans le désordre le plus complet, nous nous rajustons tous trois.
l'homme est vite redevenu le monsieur sérieux au lunettes cerclées de noir, au journal, à l'air sévère.
il descend le premier, très vite.

ça n'est qu'arrivés sur le quai, ma caroline, que tu me dis en souriant : "il a gardé ma culotte...".


de paul, pour caroline (et qui veut le lire avec plaisir)

Par paulgris - Publié dans : confidences érotiques - Communauté : Couples candaulistes
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